La gestion municipale du changement climatique : Le cas du transport de voyageurs en France
La gestion municipale du changement climatique : Le cas du transport de voyageurs en France = The Local-Level Management of Climate Change:
the Case of Urban Passenger Transportation in France / Ian Cochran. Thèse de Doctorat en sciences économiques, sous la direction du Professeur Pierre-Noël GIRAUD,Université Paris-Dauphine et Mines Paris-Tech, 15 juin 2012
Résumé de la thèse : http://www.cdcclimat.com/IMG//pdf/12-05-04_ian_cochran_-_resume_these_cover_page_fr.pdf
Texte intégral de la thèse (en anglais) : http://basepub.dauphine.fr/bitstream/handle/123456789/9783/12.05.03%20COCHRAN%20-%20Final%20Dissertation%20Complete.pdf?sequence=1
- Adoptant une approche interdisciplinaire, ce projet est élaboré à partir des théories de l’action collective, de l’économie institutionnelle, ainsi que de la gouvernance à multiniveaux et les outils d’expertise afin d’analyser ce qui semble être un modèle de gouvernance « polycentrique » capable d’atteindre les objectifs d’atténuation des émissions de GES dans le secteur du transport de voyageurs urbains en France.
- En étudiant les exemples de Grenoble Alpes Métropole et Nantes Métropole, cette dissertation pose globalement la question primordiale de savoir quels sont les changements de gouvernance nécessaires pour générer des réductions réelles et définitives d’émissions de GES dans le secteur du transport urbain de passagers.
- Notre analyse suggère que l’atténuation des GES dépend non seulement de la capacité des acteurs à se coordonner, mais également des outils d’information nécessaires pour intégrer ces questions dans la prise de décision à plusieurs niveaux de gouvernance tributaires de priorités politiques hétérogènes.
OpenEdition vous propose de citer ce billet de la manière suivante :
Danièle Revel (3 septembre 2012). La gestion municipale du changement climatique : Le cas du transport de voyageurs en France. Veille énergie climat. Consulté le 19 janvier 2025 à l’adresse https://doi.org/10.58079/o9tb